Horns

Hello la toile !

Aujourd'hui, je vous fais un retour sur Horns de Alexandre Aja, avec Daniel Radcliffe (mondialement connu pour avoir incarné Harry Potter).

Dans un petit patelin paumé, le jeune Ig est accusé d'avoir sauvagement assassiné sa petite amie, Merrin,

qui soit dit en passant est le seul Amour qu'il ait jamais connu mais il faut l'avouer, il est raide dingue de la jeune rousse. 

Il vient juste d'être relâché en attendant son procès. Tout le monde est persuadé que c'est lui le meurtrier, sauf son ami d'enfance, qui se trouve également être son avocat.


Après une veillée animée par le père de la jeune Merrin, au pied d'une cabane au fond des bois, Ig défonce la statuette de Marie en porcelaine non loin de là et lui pisse dessus

au sens propre, même si c'est loin de l'être.

Le lendemain matin, Ig se réveille avec une gueule de bois tellement sévère qu'au lieu que les cheveux lui poussent dans le crâne, ce sont deux cornes qui en sortent.
Personne ne trouve ça vraiment bizarre mais tout le monde se sent d'un coup obligé de révéler à Ig ses pensées les plus secrètes.
Sa mère et son père lui en mettent plein la gueule.
Le médecin qu'il va voir pour tenter d'enlever les cornes ne trouve rien de mieux que de se faire son assistante.
La serveuse d'un resto qui lui avoue fièrement avoir délibérément menti à la police uniquement pour pouvoir passer à la télé.
Bref, un pot pourri de pensées abjectes est subitement libéré lorsqu'il s'approche.
Sauf pour son pote l'avocat. Qui ne voit même pas les cornes.

On apprend après des passages de longues périodes de retour en enfance, qu'Ig allait demander Merrin en mariage, et que le soir du meurtre celle-ci à rompu. Voulant aller vivre à Los Angeles parce que... parce qu'elle a rencontré quelqu'un d'autre.
Vu la tendance du jeune cornu a engloutir l'alcool, on se demande si finalement dans un excès de colère alcoolisé agrémenté du fameux "putain comment j'suis rentré hier soir ?" il n'aurait pas tout bonnement tuer son ex futur femme... ouais c'est plausible.
Mais c'est quand même louche cette histoire que seul l'avocat ne voit pas les cornes, mais bon d'un autre côté, c'est vraiment le seul à croire qu'Ig est innocent.

Je ne vais pas vous raconter la fin, j'ajouterai juste qu'au moment où Ig se retrouve face à une horde de serpents, j'ai bien cru qu'il allait leur parler en fourchelangue, si si, j'y ai cru.

Donc, pour résumer, un film à mater à la maison.

Bonne journée.